un animal de compagnie ne doit jamais être délibérément relâché dans la nature
Dans de nombreux pays, la loi interdit de libérer des animaux dans la nature. 
Tout abandon d'animaux de compagnie dans la nature est socialement inacceptable.

 la libération d'animaux de compagnie dans la nature constitue souvent un acte de cruauté
Les propriétaires d'animaux familiers s'inquiètent généralement du bien-être de ceux qu'ils possèdent.
Rares sont ceux qui les mettraient délibérément en danger. Pourtant, si pour une raison ou une autre ils ne
peuvent plus s'en occuper, ils risquent de les lâcher dans la nature pour leur rendre leur “liberté”, en
pensant qu'il s'agit d'un acte de “bonté”. Ils oublient que “la vie sauvage est pleine de dangers et ne répond
pas toujours aux besoins essentiels; dans le contexte de la survie du plus apte, les moins adaptés s'exposent
à la faim, aux blessures, aux maladies et à une mort lente” .
Quelques spécimens parviennent certes à survivre, mais le sort de tous les autres ne constitue
certainement pas une marque d'amour de la part des propriétaires, et ces derniers devraient y être
sensibilisés.
Idéalement, toute personne qui prend la responsabilité d'adopter des animaux de compagnie devrait
bien sûr s'en occuper jusqu'à leur disparition par mort naturelle.
Il convient donc  que les acheteurs s'engagent sur la base d'un choix informé, et non par hasard ou par caprice.


Même si toutes les précautions ont été prises, il est des circonstances où les propriétaires ne peuvent
plus conserver leurs animaux familiers pour des raisons indépendantes de leur volonté, comme un
déménagement, le grand âge ou la maladie. D'autres propriétaires peuvent malheureusement, malgré un
achat bien informé, tout simplement perdre l'intérêt pour leurs animaux.
Diverses solutions existent pour les animaux familiers ainsi devenus indésirables :
1. Ils pourraient être repris par l'éleveur ou le vendeur dont ils proviennent. Cette option pose toutefois des problèmes
2. Des refuges pour animaux et des zoos pourraient être intéressés des animaux devenus indésirables.
3. Ils pourraient être soit revendus, soit donnés pour trouver un nouveau foyer adapté, à condition que la
transaction s'accompagne des informations adéquates sur la longévité et les soins et besoins spécifiques
pour leur bien-être


L'hébergement des animaux de compagnie d'extérieur devrait être particulièrement sécurisé car
même s'ils disposent d'abris chauffés pour se reposer, ils sont partiellement, voire totalement acclimatés à
l'environnement local, et peuvent aussi accéder directement à ce dernier. Voici quelques autres
recommandations générales sur les enclos:
• les clapiers devraient être conçus de manière à prévenir les évasions. Il faut régulièrement les
inspecter pour vérifier qu'ils ne sont pas endommagés, et notamment trop rongés, et que les grillages,
les barres et les fermetures sont en bon état;
• les cages et les volières devraient être sécurisées par du grillage de qualité afin d'empêcher les
évasions, en pensant non seulement aux espèces qui risquent de s'échapper, mais aussi aux prédateurs
qui risquent d'entrer en provoquant dans les grillages, etc., des ouvertures permettant aux occupants
de s'enfuir;
• les enclos extérieurs devraient être conçus de manière à résister à toutes les intempéries prévisibles,
telles que le vent et la neige;
• afin d'empêcher à la fois les évasions et l'intrusion d'animaux sauvages (généralement des prédateurs
et des charognards comme les renards ou les blaireaux), il convient que les grillages ou autres
dispositifs suffisamment résistants soient enterrés (à au moins 30cm de profondeur) dans le sol,
verticalement, puis horizontalement sur au moins 30cm, vers l'extérieur de l'enclos. Ainsi, les animaux ne pourront pas simplement creuser au pied de la clôture jusqu'à passer au-dessous. ...


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